Margotine, volailles fermières et foie gras
Poulets, pintades, dindes, canettes élevées en plein air sans stress. Et sur l’étal, des viandes savoureuses, des plats cuisinés, et toutes les déclinaisons du foie gras maison.
La ferme la Margotine est installée depuis 1989 à Inzinzac-Lochrist, dirigée par deux frères. Guy et Michel Picarda y élèvent leurs volailles en plein air, en pleine campagne donnant le temps au temps pour des produits de haute tradition. Nourries avec une alimentation fabriquée sur l’exploitation à partir de céréales sans ogm, elles s’ébattent en pleine nature. Arrivés à un jour sur la ferme, les poussins grandissent sans stress et à leurs aises jusqu’à 110 jours (contre 36 à 42 pour le poulet industriel, 81 pour le bio et Label Rouge). Si bien que, passées à la cocotte, la chair reste tendre, juteuse et savoureuse.
A coté des volailles entières ou à la découpe, poulets, pintades, dindes, canettes, Guy, passionné de cuisine, élabore dans sa cuisine laboratoire des plats gourmands à partir des produits de la ferme et de porc fermier breton : pâtés, rillettes, plats cuisinés, conserves.
Les deux frères se sont aussi lancé dans le gavage de canards nourris au maïs en grain selon la méthode traditionnelle et vous proposent sur leur étal des Halles de Merville, leur foie gras entier au torchon, entier mi-cuit en bocal ou cru sous vide sur réservation.
Un savoir-faire breton qu’a adopté la cheffe Nathalie Beauvais en son Jardin Gourmand.
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Margotine, volailles fermières et foie gras
Poulets, pintades, dindes, canettes élevées en plein air sans stress. Et sur l’étal, des viandes savoureuses, des plats cuisinés, et toutes les déclinaisons du foie gras maison.
La ferme la Margotine est installée depuis 1989 à Inzinzac-Lochrist, dirigée par deux frères. Guy et Michel Picarda y élèvent leurs volailles en plein air, en pleine campagne donnant le temps au temps pour des produits de haute tradition. Nourries avec une alimentation fabriquée sur l’exploitation à partir de céréales sans ogm, elles s’ébattent en pleine nature. Arrivés à un jour sur la ferme, les poussins grandissent sans stress et à leurs aises jusqu’à 110 jours (contre 36 à 42 pour le poulet industriel, 81 pour le bio et Label Rouge). Si bien que, passées à la cocotte, la chair reste tendre, juteuse et savoureuse.
A coté des volailles entières ou à la découpe, poulets, pintades, dindes, canettes, Guy, passionné de cuisine, élabore dans sa cuisine laboratoire des plats gourmands à partir des produits de la ferme et de porc fermier breton : pâtés, rillettes, plats cuisinés, conserves.
Les deux frères se sont aussi lancé dans le gavage de canards nourris au maïs en grain selon la méthode traditionnelle et vous proposent sur leur étal des Halles de Merville, leur foie gras entier au torchon, entier mi-cuit en bocal ou cru sous vide sur réservation.
Un savoir-faire breton qu’a adopté la cheffe Nathalie Beauvais en son Jardin Gourmand.