Les Parcs de Navihan, huîtres et coquillages.

Le produit phare : les huîtres creuses 100% naturelles issues de naissain capté en mer, élevées  dans la ria.  Et aussi les plates de Cancale ou Quiberon, les palourdes du Golfe ou de la ria, des coques, des bigorneaux et des moules de Penestin.

Ayant grandi les pieds dans l’eau, Denis Le Baron rêvait de Marine marchande. Un problème de vue en a décidé autrement. Attaché à son territoire maritime, il a repris le parc ostréicole de son père dont il connaissait déjà tous les secrets. Il a racheté en prime le chantier de Belz et le chantier voisin pour constituer les parcs de Navihan.

On ne dira jamais assez le long et patient labeur que celui de l’ostréiculteur, cultivateur de la mer, qui travaille trois ans pour faire grandir, récolter et nous présenter ces belles à la robe rugueuse  toujours unique, cachant une chaire iodée, suave et délicate.  Leur saveur, leurs qualités gustatives résultent du travail assidu de l’ostréiculteur mais se nuancent aussi sous l’action du soleil et du vent balayant la ria au fil des saisons. La chaire est plus douce l’hiver, plus salée l’été. Ouvrir une huître est une fête en soi, la savourer signe l’instant présent.

On peut aussi acheter ses coquillages ainsi que des crustacés et se faire composer un plateau de fruits de mer sur le chantier, 4 rue de Navihan à Belz.

 

Produits

Les Parcs de Navihan, huîtres et coquillages.

Le produit phare : les huîtres creuses 100% naturelles issues de naissain capté en mer, élevées  dans la ria.  Et aussi les plates de Cancale ou Quiberon, les palourdes du Golfe ou de la ria, des coques, des bigorneaux et des moules de Penestin.

Ayant grandi les pieds dans l’eau, Denis Le Baron rêvait de Marine marchande. Un problème de vue en a décidé autrement. Attaché à son territoire maritime, il a repris le parc ostréicole de son père dont il connaissait déjà tous les secrets. Il a racheté en prime le chantier de Belz et le chantier voisin pour constituer les parcs de Navihan.

On ne dira jamais assez le long et patient labeur que celui de l’ostréiculteur, cultivateur de la mer, qui travaille trois ans pour faire grandir, récolter et nous présenter ces belles à la robe rugueuse  toujours unique, cachant une chaire iodée, suave et délicate.  Leur saveur, leurs qualités gustatives résultent du travail assidu de l’ostréiculteur mais se nuancent aussi sous l’action du soleil et du vent balayant la ria au fil des saisons. La chaire est plus douce l’hiver, plus salée l’été. Ouvrir une huître est une fête en soi, la savourer signe l’instant présent.

On peut aussi acheter ses coquillages ainsi que des crustacés et se faire composer un plateau de fruits de mer sur le chantier, 4 rue de Navihan à Belz.

 

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